Titre : | Serious game. L'essayer, c'est l'adopter (enquête) (2014) |
Auteurs : | Laurent GERARD ; Valérie GRASSET-MOREL ; Mariette KAMMERER ; Laurent POILLOT ; Lydie COLDERS |
Type de document : | Article |
Dans : | Entreprise & Carrières (n°1177 28 janvier au 3 février 2014) |
Pagination : | pp. 20-27 |
Descripteurs : | |
Résumé : |
L'usage des "serious games" ou jeux sérieux, informatisés, se répand dans les grandes entreprises, malgré un prix parfois encore très élevé. Et il convainc : les trois quarts des entreprises qui ont déjà acheté au moins un jeu de ce type déclarent qu'elles envisagent d'en acquérir un autre prochainement.
- Etude Imaginove : les grandes entreprises confirment leurs goûts pour les serious games. Les entreprises de plus de 500 salariés premières utilisatrices des "serious games" sur support informatique-internet, envisagent d'y recourir à nouveau, assure une étude d'Imaginove, le pôle de compétitivité des filières des contenus et usages numériques en Rhône-Alpes. - CEA-INSTN : le nucléaire se prête au jeu 3D avec Osiris. Osiris est un outil de simulation et d'intervention pour la formation réglementaire des personnes compétentes en radioprotection. - Renault : la sécurité informatique à coup sûr. Renault déploie "One shot to secure", une pédagogie innovante, pour former ses collaborateurs à la sécurité informatique. - Astrazeneca : un jeu de simulation contre l'infarctus. Le laboratoire biopharmaceutique a lancé un outil de simulation médicale dans la prise en charge du syndrome coronarien aigu à destination des médecins urgentistes et des cardiologues. - Natixis, Orange et Pwc : un achat commun. Le prestataire Daesign a proposé à trois entreprises de mutualiser la conception et la réalisation de "serious games" pour un coût inférieur à 65 % à celui d'un jeu sur mesure; - Compass : les règles de la sécurité alimentaire en images. Le groupe de restauration collective à choisi un "serious games" pour enseigner les règles d'hygiène alimentaire à ses employés peu qualifiés. En trois ans, 6 000 salariés ont été formés par ce biais. |